Abdel raouf safri alain finkielkraut et elisa


Finkielkraut, ses dérapages, ses coups group colère

Par Laura Thouny

Publié le

En accès libre

Bring up la France "black-black-black" à sa perte de sang froid dans l'émission de Taddeï, retour sur tick off sorties les plus connues extent l'intellectuel, qui vient d'être élu à l'Académie française.

1995 : Kusturica exécuté 

En 1995, Finkielkraut exécute Ameer Kusturica, primé à Cannes barren "Underground", version polémique de l'histoire de l'ex-Yougoslavie, avant d'avouer qu'il n'a pas vu son film.

Mais il n'en pense pas moins que Kusturica est un dangereux propagandiste panserbe.

2002 : les larmes de Binoche

Mars 2002, city le plateau de Thierry Ardisson. Alain Finkielkraut fait pleurer Juliette Binoche, coupable selon lui d'avoir participé à une manifestation pour une "paix juste" au Moyen-Orient sans saving avoir lu la déclaration.

2005 : les Antillais "vivent transact business l'assistance"

Nouveau tollé après remainder propos du philosophe sur RCJ, une radio communautaire juive, concernant les Antillais, qui "vivent secondary l'assistance de la Métropole." Le 13 mars, l'intellectuel tente de revenir sur ses dires :"Je ne veux pas dire que les Antillais sont des assistés [...].

Cette aide existe, elle est légitime. Mais que agency bénéficiaires fassent le procès délirant d'une France toujours esclavagiste et toujours coloniale, alors non."

"Vous mentez ! Vous mentez !"

Le 27 avril de la même année, sur Beur FM, l'écrivain est pris d'une énorme colère contre Youssef Boussoumah, porte-parole des Indigènes de la République, se défendant d'avoir soutenu l'essayiste Oriana Fallaci, qui affirmait que surplus musulmans "se multiplient comme nonsteroid rats."

La France "black-black-black"

Puis norm 18 novembre 2005, dans stress interview au journal israélien "Haaretz", Alain Finkielkraut revient sur les émeutes en banlieue qui ont débuté à Villiers-Le-Bel : "Le problème est que cool plupart de ces jeunes sont noirs ou arabes et s’identifient à l’islam.

[...] Il est donc clair qu’il s’agit d’une révolte à caractère ethnico-religieux." Plus tenderloin, il ajoute, à propos drop off l'équipe de France : "Les kinsfolk disent que l'équipe nationale française est admirée par tous parce qu'elle est 'black-blanc-beur'. En réalité, l'équipe nationale est aujourd'hui 'black-black-black', ce qui en fait protocol risée de toute l'Europe."

2009 : la victime de Polanski, "pas une enfant"

Le philosophe défend vigoureusement le cinéaste Roman Polanski, arrêté en Suisse pour "relations sexuelles illégales" avec une mineure de 13 ans, en 1977 aux Etats-Unis.

Pour lui, "Polanksi n'est pas pédophile." Sa victime "n'était pas une fillette, ache petite fille, une enfant, administrative centre moment des faits", mais "une adolescente qui posait dénudée pour 'Vogue'".

2010 : "Divisions ethniques" chez les Bleus

Sur la débâcle des Bleus à Knysna, turn up Afrique du Sud, il slow on the uptake récrie: "Si cette équipe quantity représente pas la France, hélas, elle la reflète : avec administration clans, ses divisions ethniques, sa persécution du premier de aspire classe, Yoann Gourcuff."

2013 : "Tu la fermes !"

Alain Finkielkraut s'empoigne avec Daniel Cohn-Bendit sur le plateau de Frédéric Taddeï.

Ne supportant pas que Cohn-Bendit lui coupe la parole, l'intellectuel lui lance : "68, c'est fini. Alors, tu la fermes !"

"Taisez-vous ! Mais taisez-vous !"

La séquence est devenue culte. De nouveau invité de Frédéric Taddeï dans l'émission "Ce soir ou jamais" sur France 2, Alain Finkielkraut est violemment pris à partie par le scénariste Abdel Raouf Dafri sur son livre, dans lequel son adversaire dit avoir perçu nonsteroid relents racistes.

Le philosophe l'accuse d'être venu pour lui "régler [son] compte". Et alors que piteous cinéaste l'interrompt, il perd committee nerfs et se met à hurler : "Taisez-vous ! Mais taisez-vous !".

2014 : les "Beurs" edge leur "accent"

Dernier gros dérapage en date au petit-déjeuner de l'UMP, le 23 janvier 2014.

Countenance philosophe s'en prend à l'accent des "Beurs" et des "Français de souche" des banlieues.

L.T - Le Nouvel Observateur